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Le purgatoire des innocents Karine Giebel

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Impossible de ne pas se prendre de tendresse pour ce braqueur, coupable innocent de sa destinée. Impossible de s’arrêter avant la dernière page. K. Giebel sait nous tenir en émoi (comme elle l’avait fait dans ‘juste une ombre’). Âme sensible s’abstenir, quelques scènes de violence intenses.

Du son sur les murs – Frantz Delplanque

Un tueur à gages à la retraite. Une fin de parcours trop tranquille pour ce village trop paisible. Alors patratas, les affaires reprennent. L’intrigue est bien montée, l’ambiance est agréable sans être haletante. La fin quoique peu digne d’un tueur en série mais ça se lit bien. Merci mon amoureux pour cette lecture.

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N’oubliez jamais Michel Bussi

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« Vous croisez au bord d’une falaise une jolie fille ?
Ne lui tendez pas la main !
On pourrait croire que vous l’avez poussée. »

Une jolie romance populaire… on pourrait presque croire… à moins que. Rebondissement, imprévus.

Quand tu commences à comprendre et que tu te dis c’est cousu de fil blanc, et bien tu es à côté de la plaque. Pour cela, il faut être patient et aller jusqu’au bout.

Merci Clairette pour ce très bon choix. Envie de lire un autre du même auteur.

Lady Edwina Mountbatten. Scandaleuse, libre et vice-reine des Indes

Un livre de Bertrand Meyer-Stabley.

Le style est léger mais le livre très intéressant. Je découvre la vie de cette femme dont je ne connaissais absolument rien. Femme du début du XX, née dans une famille bourgeoise anglaise, orpheline de mère à 10 ans, elle connait la belle époque et l’entre deux guerres dans ses moments fastes, grâce à la fortune que lui a léguée son grand-père.

Mondaine, blessée et capricieuse dans ses jeunes années, elle devient une femme engagée à la croix rouge britannique puis indienne. Elle a d’abord voyagé pour satisfaire ses passions d’enfant gâtée, puis dans le seul but d’aider son prochain.

Voyage passionnant entre 1900 et les ’60, dans l’aristocratie britannique, un peu à Malte, puis en Inde, une relation intime avec Nerhu mais toujours charnellement attachée à son mari Lord Louis Mounbatten.

Je remercie l’association du squash des Escures à Brive qui m’a offert ce livre à l’occasion de leur tournoi de juillet 2011