L’ptit gars a chaussé ses grosses nunettes pour dévorer quelques pages d’un roman…
L’ptit gars a chaussé ses grosses nunettes pour dévorer quelques pages d’un roman…
Un livre de Bertrand Meyer-Stabley.
Le style est léger mais le livre très intéressant. Je découvre la vie de cette femme dont je ne connaissais absolument rien. Femme du début du XX, née dans une famille bourgeoise anglaise, orpheline de mère à 10 ans, elle connait la belle époque et l’entre deux guerres dans ses moments fastes, grâce à la fortune que lui a léguée son grand-père.
Mondaine, blessée et capricieuse dans ses jeunes années, elle devient une femme engagée à la croix rouge britannique puis indienne. Elle a d’abord voyagé pour satisfaire ses passions d’enfant gâtée, puis dans le seul but d’aider son prochain.
Voyage passionnant entre 1900 et les ’60, dans l’aristocratie britannique, un peu à Malte, puis en Inde, une relation intime avec Nerhu mais toujours charnellement attachée à son mari Lord Louis Mounbatten.
Je remercie l’association du squash des Escures à Brive qui m’a offert ce livre à l’occasion de leur tournoi de juillet 2011
Offert à l’occasion de la naissance de Pipoule, pour soit disant occuper mes longues journées, ‘le Cercle Littéraire des amateurs d’épluchures de patates’ est un délice de lecture.
Il s’agit d’un recueil de correspondances, écrites à la fin de la 2nde Guerre Mondiale, entre une journaliste londonienne en vogue, Juliet, et les membres du réellement nommé ‘Cercle des amateurs de Littérature et de tourtes aux épluchures de patates’.
Juliet, subjuguée par l’existence et l’histoire de cette confrérie, créée dans les tumultes de l’invasion et de l’occupation de l’ile de Guernesey, va faire de cette rencontre fortuite, le thème de son futur ouvrage…
A peine à la moitié du livre, il va sans doute encore se dérouler une multitude de péripéties….

Hop… Tiens, Robert Charles Wilson. Repéré traduit au virgin si j’me souviens bien, il fallait bien que je tente l’aventure. Et rien de mieux qu’une petite commande à l’ami amazon pour y ajouter une oeuvre du bonhomme.
Et bien le test est plus que concluant. Il est même franchement énorme! Juste sorti du style presque inhumain et métallique, mais si jouissif, de Reynolds, le contraste est énorme. Spin c’est de la science-fiction bien touillée avec de l’humain: l’histoire de personnages sur une trame de fantastique, l’un enrichissant l’autre.
Alors quoi? Des personnages attachants, un mystère bien mystérieux ;) , pas besoin de plus pour faire un bon roman. Surtout quand la plume de Robert Charles Wilson s’y met: j’ai vraiment apprecié son style » léger », dénué de poncif ou autres phrases à rallonge.
A goûter! Cela ne vous donnera qu’envie de dévorer la suite, Axis! (objet d’une prochaine commande pour ma part :turtle: )

AH AH!
Hop, je viens de dévorer la dernière oeuvre de l’ami Reynolds.
Et c’est toujours aussi efficace: une écriture fluide, une histoire aletante, des personnages charismatiques. Rien que de bien classique… si ce n’est l’énorme capacité de Reynolds à laisser percevoir tout ce qui semble pourtant si difficilement descriptible: l’immensité du vide intersidérale, un espace-temps surréaliste entre instants fugitifs et courses poursuites en années lumières.
C’est definitivement un must-read, comme d’hab me direz-vous! Foncez! :-)